Collection Zone Rouge. J’Aide Mon Homme Pour Faire La Nique À Mon Père (2/5)

Je l’ai fait, j’ai ouvert la porte de l’hôtel de Léon avec la carte magnétique qu’il m’a confiée pour faire un dernier choix sur la route que je désire prendre.
Jusqu’à ce jour, mon choix était vite fait chaque fois qu’Adeline voulait me faire coucher.
Mon père commissaire de police de notre ville étant intraitable sur la vertu de sa fille, à 20 ans je suis toujours vierge.
Un jour je dirai oui à un garçon et là lors de notre nuit de noces, je m’offrirai à lui.
Ça, c’était il y a encore quelques minutes, car cet homme, c’est Léon homme viril s’il en est pour lequel j’ai un coup de foudre malgré nos dix ans d’écart.

• Que fais-tu petite fille ?
• Je sors ta verge pour te la sucer, c’est mal !
• Non, mais nous avons le temps, je vais tout t’apprendre, inutile de nous donner en spectacle si quelqu’un circule dans les couloirs.

Je l’ai pourtant en main, c’est doux et chaud et malgré son étonnement, les portes coulissantes ouvertes c’est en la tenant que je vais vers la porte 32.

• Une dernière chance pour toi d’attendre un éventuel mari ma petite fleur des prés.

Je passe la carte, le clac d’ouverture se fait entendre.

• Que fais-tu mon amour, pourquoi me portes-tu dans tes bras ?
• Je respecte les volontés de ton père qui souhaite que tu sois femme le soir de tes noces.
• Alors, fais entrer la mariée !

J’ai l’impression d’être un fétu de paille dans ses bras virils, nous passons le seuil et d’un coup de talon, il m’isole du monde.
Nos bouches se trouvent alors que j’ai mes bras autour de son cou.
Il me repose au sol et un par un, il enlève le peu de vêtements que j’ai sur le dos.
J’ai un frisson, pourtant je suis certaine que c’est l’homme qu’il me faut pour devenir femme.
Il a laissé ma petite culotte cachant ma féminité blonde.
Il me couche sur le dos et de ma bouche, sa langue vient se frotter sur ma chatte au travers de ma culotte.


Le bouton que j’ai appris à caresser lorsque je suis seule me donnant du plaisir, mais en cachette, est déjà en ébullition, je sens qu’il est impatient d’appartenir à Léon.

• Ahaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !
• Tu vois, c’est facile avec ma simple langue de te donner du plaisir, maintenant je t’ôte ton bout de tissu et je vais faire de toi une femme.

Le tissu glisse sur mes hanches m’offrant à lui dans un élan d’amour.
Il saute sur le lit comme un chat passant au-dessus de moi.
J’ai le temps de voir la flèche et les bourses qui vont changer ma vie à jamais.
Un jour où elle était en manque de confidence, elle m’a dit que pour elle son dépucelage avait été un vrai calvaire.
En manque de confidence, j’exagère, car elle adore parler de cul et des queues avec lesquelles elle s’est fait enfiler la veille au soir.
Sa première, c’était dans les toilettes du lycée de notre ville avec un jeune puceau ayant déchargé à peine entré.
Par chance, il avait été assez loin pour la dépuceler et quelques jours plus tard, c’est avec un vieillard d’une soixantaine d’années qui l’avait fait jouir.
C’était le grand-père de Charlotte, une autre de nos amies.

• Tu sembles bien songeuse Francine, hésites-tu ?
• Non, dit moi ce que je dois faire.
• Viens à califourchon sur moi.
C’est parfait, sent ma bite sur ta chatte.
Prends-la en main.
Oui, c’est très bien !
• Tu veux que ce soit moi qui descende sur ta bite et qui règle ma descente en fonction de ma douleur.
Ok, tiens.

D’un coup je m’empale sur mon homme.
Définitivement mon homme.

• Tu es comme moi poussin, tu es radicale, tu bougeras quand tu en sentiras le besoin, tu as ma verge en toi, tu es ma femme.

La femme d’un tel homme, j’ai envie de lui faire voir que je suis une forte femme et malgré la légère douleur, je bouge, montant et descendant sur ce pieu, mon pieu !
J’ai rapidement envie de hurler tellement le plaisir est intense, nos bouches se retrouvent et évitent d’ameuter les chambres voisines.

Je sens que sa verge en moi à des soubresauts et là encore pour la première fois je sens son sperme inonder mon utérus pour mon plus grand bonheur.
Je roule sur le ventre à ses côtés.
Il me fait voir la reconnaissance qu’il a pour moi en me passant le bout de son doigt sur ma colonne vertébrale, allant de ma nuque jusqu’à mes fesses.

• Bébé, regarde-moi, as-tu mal ?
• Veux-tu que je sois franche ?
• Tout le temps, il faudra que nous soyons toujours francs entre nous si nous voulons que notre relation soit durable.
• Alors oui, j’ai un peu mal, mais je sais si tu souhaites me garder que d’ici peu ce sera la jouissance que j’ai commencé à ressentir qui guidera notre amour.
• Tu as raison, je dois être franc moi aussi.
J’ai gardé des choses pour moi tout à l’heure à la discothèque.
• Tu es marié dans une autre ville et tu as des s.

Léon éclate de rire et me sert dans ses bras.

• Bécasse, non, tu te souviens dans la discothèque, j’ai failli te marcher sur le pied.
• Oui, on avait dû te pousser, tu es si bon danseur.
• Oh ! que non, tu venais de me dire que tu es la fille du commissaire Jean Bon.
Tu t’appelles Francine Bon.
Ton père m’a arrêté trois fois dans ma vie.
À 16 ans, j’avais fracassé la devanture d’un magasin de vêtements de grandes marques, pour y voler un sac à main de luxe pour la petite copine que je pensais séduire en lui offrant.
• Il t’a arrêté et mis en prison !
• Non, un simple rappel aux règles de notre pays et vingt heures d’intérêt général.
• Tu t’en es bien sorti.
• La deuxième plus grave, pour coups et blessures sur un homme dans la discothèque où nous nous sommes rencontrés, j’avais pris de l’envergure et j’avais horreur que l’on me marche sur les pieds.
• Comme tout à l’heure avec les petits cons.
• Oui, mais à 16 ans j’étais chétif et j’avais volé ce sac en cassant la vitrine pour impressionner cette fille qui se refusait à moi.

Je suis allé dans une salle de sport ainsi qu’en prison où il y a une salle de musculation et tu vois l’homme que je suis à trente ans.
Les flics sont intervenus et cette deuxième fois, j’ai pris six mois pour coups et blessures.
Je suis sorti au bout de quatre mois en même temps qu’Aldo, c’est avec lui que j’ai franchi une étape.
Infraction dans un hôtel particulier, il m’avait appris à fracturer des coffres, mais cette fois-là le propriétaire s’est réveillé.
Ton père connaissait le juge et comme Aldo l’avait tué, j’ai pris 10 ans pour complicité de .
Je suis sorti au bout d’un peu plus de cinq ans pour bonne conduite.
• Je vais partir, tu m’as dépucelé pour te venger de mon père lorsque tu as compris que je me gardais pour mon futur mari.
• Au début, oui, c’est vrai, mais quand tu m’as suivi jusqu’ici, mon cœur a sauté dans ma poitrine.
Tu es si frêle et si gentille, j’ai envie de te protéger, mieux que nous nous protégions mutuellement.

Ses aveux me touchent, il aurait pu continuer à me baiser et même plus, sans rien me dire.
Il me regarde avec des yeux de chien battu et c’est moi qui saute dans ses bras pour qu’il recommence à me prendre.

• Pouvez-vous nous faire monter deux petits déjeuners avec café madame ?
Bien complet, ma fiancée et moi nous avons une faim de loup.

Lorsque la femme, que j’ai déjà croisée dans notre ville, nous apporte une table roulante bien garnie, c’est la poitrine dénudée sortant des draps que je la reçois.
Sa fiancée, je suis sur une autre planète surtout que lorsqu’elle sort.
Je prends la bite de mon homme dans ma bouche comme il m’a appris à le faire lorsqu’il a fini de m’avouer son passé.
Il veut me reprendre en levrette comme la troisième fois vers quatre heures du matin m’apportant un orgasme dévastateur pour la première fois depuis que je suis femme.

• Non, je veux boire ton sperme, je t’aime Léon.

Sperme puis croissant café, avant que nous prenions un bain ensemble.

Je lui passe ma main sur sa verge, je sens qu’il réagit.
Cinq ans sans femme, il m’a avoué que j’étais la première qu’il avait rencontrée depuis sa sortie de prison.
Mon père l’avait enfermé comme il m’avait enfermée moi-même pour des motifs différents, je le conçois.

• Arrête poussin, il va falloir que tu rentres chez toi, j’ai un travail à faire, on m’attend.
• Si tu sors, je veux rester à t’attendre, je vais mourir si tu me quittes même une heure.
• Alors reste à te reposer, je vais, revenir.

Je suis dans le lit quand Léon va dans son armoire, qu’il met quelque chose dans sa poche et que venent m’embrasser très très longuement, il quitte notre chambre.
C’est drôle de dire notre chambre, moi la vierge convaincue.

J’ai dû dormir lorsqu’il revient.

● Tiens, tu iras t’acheter des fringues, je veux que ma femme soit la plus belle de notre ville chérie.

Autour de moi, vole un paquet de billets de 500 €...

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